Alors qu'il venait d'être élu "réalisateur asiatique de l'année" au Festival international du film de Busan, en Corée du Sud, Koji Wakamatsu vient de mourir à Tokyo, après avoir été percuté par un taxi. C'est un des réalisateurs les plus importants du Japon (et du reste du monde) qui s'éteint. très prolifique dans les années 1960-70, Koji Wakamatsu continuait de tourner et avait retrouvé une nouvelle vitalité ces dernières années.
En 2012, pas moins de trois films sont sortis dont Le Jour où Mishima a choisi son destin. En France, United Red Army, son film sur l'Armée Rouge Japonaise, avait connu un certain retentissement médiatique, alors qu'en 2007, son classique des années 60, Quand l'embryon part braconner, film sadien par excellence, avait été interdit au moins de 18 ans. La Cinémathèque française lui avait consacré une rétrospective en 2010. Cette même année, une première monographie en français avait été publiée : Koji Wakamatsu, cinéaste de la révolte (éditions IMHO).
Plusieurs billets sur koji Wakamatsu ont été écrits ici.
Critiques de films :
- Secrets Behind The Walls (1965)
- Quand l'embryon part braconner (1966)
- Season of Terror (1969)
- La Femme qui voulait mourir (1970)
- Serial Rapist (1978)
Interview de Koji Wakamatsu en 1970
Autour de Koji Wakamatsu :
- Sex Game de Masao Adachi (1968)
- Interview de Go Hirasawa sur l'Art Theatre Guild of Japan
- Xenophon, l’Armée Rouge Japonaise et le cinéma d’avant-garde
Une des dernières photos de Koji Wakamatsu, au Festival de Busan. |
En 2012, pas moins de trois films sont sortis dont Le Jour où Mishima a choisi son destin. En France, United Red Army, son film sur l'Armée Rouge Japonaise, avait connu un certain retentissement médiatique, alors qu'en 2007, son classique des années 60, Quand l'embryon part braconner, film sadien par excellence, avait été interdit au moins de 18 ans. La Cinémathèque française lui avait consacré une rétrospective en 2010. Cette même année, une première monographie en français avait été publiée : Koji Wakamatsu, cinéaste de la révolte (éditions IMHO).
Image de La Vierge violente (1968) |
Plusieurs billets sur koji Wakamatsu ont été écrits ici.
Critiques de films :
- Secrets Behind The Walls (1965)
- Quand l'embryon part braconner (1966)
- Season of Terror (1969)
- La Femme qui voulait mourir (1970)
- Serial Rapist (1978)
Interview de Koji Wakamatsu en 1970
Autour de Koji Wakamatsu :
- Sex Game de Masao Adachi (1968)
- Interview de Go Hirasawa sur l'Art Theatre Guild of Japan
- Xenophon, l’Armée Rouge Japonaise et le cinéma d’avant-garde
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