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Maria Beatty continue son exploration sexuelle dans le tribadisme fantasmé à Berlin de 1926 et fait revivre ce climat décadent fait de morphine et de lesbianisme.
Nous sommes à Berlin, en 1926. La morphine coule de seringue à seringue, de lèvre à lèvre.
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On pense à Fassbinder, qui manque tellement au cinéma, et à Klaus Mann, qui manque tellement à la littérature. On pense également à David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop dans les années 1977-1978. Maria Beatty nous ramène à des principes simples: se droguer, rêver, lécher, sucer, se faire fouetter, être une femme. Le tout dans une esthétique qu'il n'est pas nécessaire de décrire. Juste ce qu'il faut.
Une ptite récession par là-dessus et revoilà le nazisme. Il faut répéter l'histoire jusqu'à ce qu'on ait compris. Alors, combien de millions de morts à venir, les graines de l'extase sèment-elles ?
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